L’environnement a une place vitale dans notre écosystème, l’écologie est au cœur des discussions aujourd’hui. Il faut réussir à trouver un équilibre pour assurer la pérennité de celui-ci dans le temps. L’actualité est d’ailleurs un marqueur qui nous rappelle la valeur inestimable des forêts.

Nous avons à cœur aujourd’hui de mettre en lumière l’importance des forêts dans la production de café et notamment leurs rôles dans la réalisation d’un café responsable et qualitatif !
 

Les critères d’une forêt caféière en pleine forme !


Il y a quelques mois nous évoquions la différence entre les grains de café arabica et de robusta. En effet, si les plantations de café évoluent dans des milieux différents en fonction du grain souhaité, il y a des facteurs environnementaux à prendre en compte dans la production de café.

Les producteurs ont mis en place plusieurs systèmes d’exploitation : du système traditionnel à la polyculture, tout en respectant le climat optimal pour le développement des grains de café. L’objectif est de respecter la nature, les sols et la conservation de la biodiversité.

Les caféiers, originaires d’Éthiopie, poussent à l’état sauvage depuis trois millions d’années ! Il existe des centaines de variétés de caféiers et il faut attendre entre 4 et 5 ans avant qu’ils ne commencent à donner des fruits. Certains environnements sont plus propices à la culture des caféiers comme les sols volcaniques qui sont riches et légers ou encore les exploitations à plus de mille mètres d’altitude, là où la lumière est dite « tropicale ».

Lors de la cueillette, il est important de respecter la maturité des cerises de café, comme pour tous les autres fruits. Il faut de la délicatesse et de la patience pour obtenir des grains de café de qualité supérieure.
 

Des saveurs uniques à préserver !


Nous en sommes témoins tous les jours, les arbres font partis de notre éco-système. C’est pourquoi il est crucial de privilégier des cultures respectueuses de l’environnement.

Afin de garantir une qualité de grains supérieure, il est important de respecter des règles de cultivation respectueuses :
•    Privilégier des cultures sous ombrage, entourées d’une riche biodiversité,
•    Respecter le rapport ensoleillement/ombrage du caféier,
•    Préserver les fleurs et les fruits qui entourent le caféier ainsi que la faune,

Enfin, les saisons jouent également un rôle majeur dans la récolte du café. Il est nécessaire de prendre en compte les périodes conseillées de récolte afin de garantir le meilleur de chaque variété et cela permet également de constituer les goûts souhaités en mélangeant les différents arômes. L’objectif étant d’obtenir une qualité constante tout au long de l’année. Il faut porter attention aux différentes périodes de récoltes en fonction des variétés de cafés. Par exemple, il faut compter 6 à 8 mois pour que l’arabica murisse tandis que le robusta mettra 9 à 11 mois. Ces longues périodes de murissage expliquent qu’il n’y ait que 2 récoltes par an, la récolte principale et la récolte secondaire. D’ailleurs, les périodes de récolte dépendent de la zone géographique dans laquelle le caféier se trouve, nous récolterons entre septembre et décembre dans l’hémisphère nord et plutôt en avril ou mai dans l’hémisphère sud.

La récolte quant à elle doit être respectueuse des grains afin d’obtenir des arômes de qualité. Les cerises de caféiers qui sont mûres arborent un rouge vif lumineux et la technique la plus respectueuse est le « picking », une récolte manuelle et minutieuse qui privilégie la maturité des grains en fonction de chaque arbre. Elle s’étale sur plusieurs semaines avec une récolte tous les trois à quatre jours.

C’est ce que Café Privilège s’engage à réaliser au quotidien pour vous offrir un café d’exception.

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